rely on subcontractors. “In-house, we have two engineers; we have an licensed and certified contractors who can rebuild floors, bathrooms and provide skilled opinions when necessary to diagnose issues; we have a technician who can go on-site and take humidity readings, make openings, and install blowers to prevent flooring from having to be ripped out. We do all that inhouse,” Maia explains. “A lot of our clients really appreciate that, because we know their buildings, we can get to them really fast, and we value our relationships with our clients,” she adds. “External contractors are never going to value those relationships as much. They may come in, do a job, and never see the client again. We have an ongoing relationship with the client and we care about the building as a whole, so clients feel more comfortable with us because they know we’re going to make sure the job gets done properly.” These days, the properties in Wilkar’s portfolio are mainly based in the downtown area of Montreal, in neighborhoods including Griffintown, Westmount, Notre-Dame-deGrâce, and Old Montreal. Some of the more luxurious buildings they manage have between 50 and 70 units, while other higher-density buildings have unit counts up to 600. In recent years, a good portion of their work has come fromdevelopers who approach Wilkar during their building’s construction, so they can have them managing the building right from the moment residents move in. At the same time, the company also gets a lot of work with existing buildings – those jobs APRI L 2023 ingénieurs ; nous avons des entrepreneurs agréés et certifiés qui peuvent reco st uire des planchers, des salles e bains et fournir des opinions éclairées en ca de besoin pour diagnostiquer des problèmes ; nous avons un technicien qui peut se rendre sur place, prendre des mesures d’humidité, fairedes ouvertures et installer des soufflantes pour éviter que les planchers ne soient arrachés. Nous faisons tout cela en interne”, explique Maia. “Beaucoup de nos clients apprécient vraiment cela, car nous connaissons leurs bâtiments, no s pouvons nous y rendre très rapidement, et nous attachons de l’importance à nos relations avec nos clients”, ajoute-t-elle. “L sentrepre eurs externes n’apprécieront jam i autant ces relations. Ils peuvent venir, faire un travail et ne plus jamais revoir le client. Nous entretenons une relation continue avec le client et nous nous soucions du bâtiment dans son ensemble, donc les lients se sentent plus à l’ai av c nous parc qu’ils savent que nous nous assurerons que le travail soit bien fait.” De nos jours, les propriétés du portefeuille de Wilkar sont principalement situées dans le centre-ville de Montréal, dans des quartiers tels que Griffintown, Westmount, Notre-Dame-de-Grâce et le Vieux-Montréal. Certains des im eubles de luxe qu’il gèrent comportent ntr 50 et 70 unités, tandis que d’autres immeubles à plus forte densité ont jusqu’à 600 unités. Ces dernières années, une grande partie de leur travail provient de promoteurs qui approch nt Wilkar end nt la construct on de leur immeuble, afin qu’ils puissent le gérer dès l’arrivée des résidents. Parallèlement, l’entreprise travaille également beaucoup sur des immeubles existants. Ces travaux proviennent généralement de recommandation de VOLUME 1, ÉDITION 1
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