membres à se moderniser et pour se moderniser ellemême en tant qu’association. Pour ses membres, elle veut s’assurer d’être optimalement équipée pour relever les défis actuels et futurs de l’industrie de la construction. En interne, elle souhaite s’assurer que l’association puisse être structurée de manière optimale pour servir ses membres de la manière la plus fiable possible. « En tant qu’association, nous avons traversé de nombreux changements au cours des dernières années », explique Guillaume Houle, responsable des affaires publiques. « Nous avons modifié la taille de notre conseil d’administration. Nous l’avons réduite pour être plus agiles et prendre des décisions plus rapidement. Nous travaillons sur une nouvelle planification stratégique afin de fixer de nouveaux objectifs et une nouvelle vision pour l’avenir. Il se passe beaucoup de choses dans l’industrie, et nous voulons être dans la meilleure position possible pour aider nos membres à traverser ces changements. » L’un des principaux changements auxquels fait face l’industrie de la construction au Québec est la proposition du projet de loi 51. Ce projet de loi qui vise à améliorer et à moderniser l’industrie de la construction de la province en modifiant les lois relatives aux relations de travail, à la formation professionnelle et à la gestion de la maind’œuvre dans l’industrie de la construction. Récemment, le Québec a également adopté le projet de loi 42, qui cherche à prévenir et à combattre le harcèlement psychologique et la violence sexuelle en milieu de travail, élargissant ainsi les obligations des employeurs pour protéger les employés québécois contre le harcèlement et la violence au travail. L’ACQ a activement communiquéavecsesmembres au sujet des deux projets de loi et de ce qu’ils doivent faire pour s’adapter, et elle a mis des conseillers régionaux à la disposition des membres pour répondre à leurs questions et préoccupations. VOLUME 1 , ÉD I T I ON 4
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